Titre : Celle qui écrivait des poèmes au somment des montagnes
Auteur : Nicolas Fougerousse
Éditeur : Bien-être jouvence
Nombre de pages : 249
Genre : Contemporain
Résumé :
« ÉCOUTE TES ÉMOTIONS. »
C’est le message que découvre Marcus sur son pare-brise en partant au travail, désabusé, avant une journée comme les autres. Qui a bien pu lui écrire et lui déposer un tel billet ? Forcément une personne qui connaît ou a étudié ses habitudes. Sa femme, Isabelle ? Son chef ? Un inconnu ? Cet homme mystérieux croisé a priori au hasard ? Une chose est sûre, à partir de cet instant, la vie de Marcus va basculer. Au-delà de l’imaginable…
Entre quête de sens, révélations et profond humanisme, cette odyssée de l’amour inconditionnel porte en elle toute la complexité de la nature humaine.
Un roman de développement personnel qui a le goût du pardon, un poème qui a l’odeur de l’altitude.
Mon avis :
En début d'année, j'ai découvert : "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une" (Chronique ici) et ça a été un réel coup de cœur pour moi. Ce livre m'a énormément parlé et aider. Je l'ai d'ailleurs offert et conseillé à plusieurs personnes. Je me suis dit que l'occasion était bonne, la fin de l'année venant, pour faire la même chose avec ce roman sauf que je n'ai pas eu du tout le même coup de cœur. Je l'ai trouvé quelque peu décousue. J'ai trouvé des passages ennuyeux et sans intérêt. Bref, il n'a pas du tout suscité chez moi le même effet que le premier roman cité plus haut.
Bien évidemment qu'il y a du bon à prendre, bien évidemment que l'histoire de fond est sympa, notre personnage principal apprend à prendre soin de lui et à se redécouvrir, mais ... Je ne sais pas, il m'a manqué quelque chose. Pas assez de sentiments et de profondeur dans le roman. Tout reste en surface, en suspend et le final nous tombe dessus comme ça ... Mon avis est vraiment très mitigé.
Je suis tout de même un peu déçue, car j'attendais beaucoup plus, et au final, je suis tombée de haut ...
Je ne le déconseille pas, peut-être vous parlera-t-il à vous plus qu'à moi ...
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